Aujourd’hui, je comprends que, en âme et conscience, les femmes de ma vie ne prennent jamais racines, viennent et repartent, s’en vont, curiosité, le temps d’un week-end, d’un mois, d’une année. Des histoires légères que j’accueille mais à qui je ne fais de place vraiment. L’échange restant à la surface, pour moi, sont mes touristes.
Comme si tout était anodin. Ce que mes touristes prennent, c’est une vie qu’elles détruisent au fur et à mesure de leurs passages et de leur présence.